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Korben, roi d’internet, logo bébé avec des lunettes en mode thug life

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Aaah Nano, cet éditeur en ligne de commande si apprécié des geeks ! Simple, léger, accessible… Et il continu de s’améliorer puisque la version 8 vient de sortir et apporte son lot de nouveautés plutôt cool.

Déjà, les développeurs ont revu les raccourcis clavier par défaut pour coller aux standards. Fini le temps où on se mélangeait les pinceaux entre les éditeurs ! On retrouve maintenant les classiques Ctrl+F pour chercher, Ctrl+B pour chercher en arrière, Alt+F / Alt+B pour répéter la recherche et Alt+R pour remplacer. Les devs ont même pensé à ajouter l’option --modernbindings (ou -/ pour les flemmards) pour avoir des raccourcis façon Ctrl+X (quitter), Ctrl+C (copier), Ctrl+V (coller)… Un vrai bonheur !

Mais là où Nano pousse le bouchon encore plus loin (Maurice) c’est avec ses fonctionnalités bien geek. Saviez-vous par exemple qu’on peut désormais ouvrir un fichier directement à une ligne spécifique en rajoutant +numLigne après son nom ?

Les raccourcis Alt+Home et Alt+End permettent aussi de sauter en haut ou en bas du fichier en un clin d’œil, sans bouger le curseur. Idéal pour avoir une vue d’ensemble de son code. Et si vous souhaitez vous repérer dans vos sections avec des ancres et bien avec Alt+ » vous pouvez en placer à la volée et y revenir avec Alt+’. Super pratique pour naviguer dans vos documents !

Côté personnalisation, les amateurs de couleurs seront ravis puisque lorsque les trois chiffres d’un code #RGB sont identiques, Nano le mappe à l’échelle de gris xterm. Résultat, on passe de 4 à 14 nuances de gris pour styliser son terminal.

Et pour les irréductibles de la souris, sachez que la molette permet maintenant de scroller dans le fichier sans changer la position du curseur. C’est tout bête mais tellement pratique pour explorer rapidement un fichier.

Je vous laisse découvrir le reste par vous-même !

Nano 8.0 est disponible au téléchargement sur le site officiel. Vos distrib’ préférées ne devraient pas tarder à le proposer.

A vous de l’apprivoiser maintenant !

Source



— Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —
— Contient des liens affiliés Amazon —

ZX8000 est un mignon petit robot (certainement une version très évoluée du cultissime ZX80) créé par Emily et Norbert, qui va devoir se mettre à l’action pour contrecarrer les plans du machiavélique Badbert qui perdu toute empathie. :'( On va contrôler un ZX8000 super agile et le faire évoluer dans des épreuves de plate-forme millimétrée : BZZZT !

Présenté lors du dernier Indie World pour sa sortie future sur Nintendo Switch, BZZZT est cependant déjà accessible sur PC (Steam). Ce petit jeu a été pensé et créé par (quasiment) une seule personne : Karel Matejka. Vous le connaissez peut-être via son pseudo ko.dll car, depuis des années, il poste sur Insta et Twitter des créations, graphismes et animations en pixel-art de toute beauté. 🤩

Sur l’aspect sonore il s’est fait aidé par son ami Martin Linda, qui fait des bruitages au top, mais surtout des musiques excellentes, vous vous surprendrez à vous dodeliner de la tête et vous enjailler entre deux cris de rage contre une scie circulaire qui a bougé trop tôt. 😭

Je trouve l’aspect artistique et technique excellent ; on est à fond dans l’univers 16-bit (sonorités, pixel-art…) mais en profitant des bonus de notre époque (effets graphiques modernes, éclairage fins, jeu parfaitement fluide, pistes audio sans limitation…). C’est un peu le meilleur des deux mondes.

Niveau gameplay, ici aussi tout est au poil. 👌 C’est un jeu de plate-forme à la Super Meat Boy : niveaux courts présentant un challenge certain. Il faut aller vite, chopper le « rythme » du stage, utiliser à bon escient nos différents pouvoirs comme le double saut, le dash, et autres surprises qu’on débloque au fur et à mesure.

La difficulté est vraiment bien dosée : tout d’abord il est possible de jouer avec un système de vie, ou pas, en mode die & retry. Mais aussi, vous pouvez vous contenter de « juste » finir un niveau, ou alors le finir en choppant toutes les vis, ou alors en mode time attack, ou alors en trouvant les petits secrets cachés ici et là… Et alors, ça devient nettement plus compliqué. 🙂

Il y en a pour tout le monde ! La durée de vie est un peu courte (comptez 3 à 5 heures selon votre niveau), même si le jeu dispose d’une très bonne rejouabilité via les différentes objectifs. Cela étant dit, son prix est plutôt en adéquation : 12€ ! Bref, c’est un très joli 🤖🤖🤖🤖/5 car j’ai adoré ce petit bonbon nostalgique & digitalisé !

Disponible sur Steam et bientôt sur Switch avec, si j’ai bien compris, quelques petites nouveautés en plus… À vous de voir si vous préférez attendre ou pas. 😉

Retrouvez BZZZT sur PC (Steam) ou Nintendo Switch


J’sais pas si vous savez, mais dès que vous créez un fichier, il y a plein de données qui se retrouvent dedans, la plupart du temps à votre insu… Et ça fonctionne avec tout : Photos, documents, morceau de musique et j’en passe. Cela s’appelle des Métadonnées, ça n’a rien de nouveau mais c’est bien utile aux pentesteurs et autres experts OSINT pour mener à bien leurs enquêtes.

Évidemment, les mecs ont autre chose à faire et plutôt que d’aller fouiller tout à la main, ils se reposent sur des outils comme celui que je vous présente aujourd’hui et qui s’appelle MetaDetective.

Développé par des passionnés de cybersécurité, MetaDetective est propulsé par Python et contrairement à certains outils qui dépendent d’une myriade de bibliothèques externes, il est plutôt autonome et simple à utiliser. Seul prérequis : avoir exiftool installé sur votre système. Une fois cette étape franchie, vous êtes prêt à plonger dans l’aventure !

L’une des forces de MetaDetective réside surtout dans sa capacité à catégoriser et à présenter les métadonnées de manière intuitive. Fini le casse-tête des données brutes et désorganisées. Que vous analysiez un fichier unique ou un ensemble de documents, MetaDetective vous offre une vue d’ensemble claire et structurée. Chaque information est minutieusement classée, vous permettant de naviguer aisément dans la richesse des données extraites.

L’outil intègre des fonctionnalités avancées de web scraping et là où d’autres se contentent de gratter la surface, MetaDetective, lui, plonge en profondeur, explorant méticuleusement de nombreux sites web pour en extraire les métadonnées les plus pertinentes. Oubliez les restrictions d’IP et les proxy laborieux à des services tiers, puisqu’il va directement se fournir à la source.

Vous pourrez bien évidemment ajuster la profondeur d’exploration, cibler des types de fichiers spécifiques, et même exclure certains termes pour affiner vos résultats. Et grâce à ses options d’exportation flexibles, vous pouvez générer des rapports clairs au format HTML ou texte.

Mais attention, avec un grand pouvoir vient une grande responsabilité. L’utilisation de MetaDetective doit se faire dans le respect des lois et réglementations en vigueur. Cet outil puissant ne doit pas être utilisé à des fins malveillantes ou illégales.

Pour en savoir plus sur MetaDetective et accéder à sa documentation complète, rendez-vous ici.


Rabbit R1, le joujou IA dont tout le monde parle depuis des mois, avait créé un sacré buzz à son annonce. On nous promettait une révolution, un assistant personnel intelligent toujours à portée de main pour répondre à nos questions, identifier des objets, jouer votre musique préférée ou commander un Uber. Bref, l’accessoire indispensable pour notre vie connectée qui remplacerait ce foutu smartphone.

Sauf que… en fait non.

Les premiers tests sont tombés et le verdict est sans appel, exactement comme je l’avais prédit sur Twitter y’a quelques semaines : le Rabbit R1 est un bide intersidéral. Sous ses airs de gadget futuriste, il s’agit en réalité d’un appareil fonctionnant sous une version modifiée d’Android, le tout dans une coque en plastique.

Et ses fonctionnalités révolutionnaires ?

Et bien c’est juste une application préinstallée…

Je déconne pas. Toute la magie s’envole d’un coup. Fini le rêve du compagnon IA révolutionnaire, on se retrouve juste avec une merde de plus en plastique qui recycle des technologies existantes et bridées. Mais le pire, c’est que cette fameuse app Android, il est possible de l’installer sur un smartphone Android. C’est ce qu’on réussi à faire les journalistes d’Android Authority sur un bon gros Pixel 6a. Et ça fonctionne plutôt bien même si l’affichage est tout petit vu que c’est prévu pour l’écran rikiki du R1. Mais on peut discuter avec l’assistant, lui poser des questions et obtenir des réponses exactement comme si on avait un Rabbit R1 dans les mains !

Alors bien sûr des trucs comme la prise de photos ou la reconnaissance d’images ne fonctionnent pas car il manque les autorisations système et l’intégration matérielle dont bénéficie l’app sur le vrai appareil mais y’a l’essentiel, à avoir l’IA conversationnelle !

Cela veut dire que ce gadget vendu 200 balles n’était en fait qu’une surcouche logicielle, un simple lanceur Android customisé. Pas besoin d’appareil dédié, un APK aurait suffit… et vendre à ce prix un produit qui tient en grande partie sur une app, c’est quand même gonflé surtout que l’autonomie est ridicule et qu’il faut un forfait data en plus !

La douille.

Bref, si vous attendiez le Rabbit R1 comme le messie, contentez-vous d’installer l’app ChatGPT, vous aurez une expérience similaire pour 0€.

Allez, bisous mes lapins de 3 semaines 🐰


Avis aux créatifs de tout poil : WeTransfer vient de sortir l’artillerie lourde pour vous faciliter la vie ! Fini le temps où vous deviez courir après vos paiements comme un poulet sans tête puisque maintenant, vous allez pouvoir vendre vos petites merveilles directement sur la plateforme. C’est ti pas beau ça ?

En effet, ces derniers ont intégré un paiement via Stripe (il vous faudra donc un compte Stripe), ce qui permet à n’importe qui de recevoir son dû en un clin d’œil, sans se prendre la tête avec des changements de devises. Et si vous êtes abonné payant à WeTransfer vous n’aurez pas de frais supplémentaires, à part les frais de traitement des paiements standards de Stripe. Pour les autres, pas de panique, vous aurez un accès gratuit aux paiements intégrés sans frais de plateforme supplémentaires jusqu’à fin juin, ce qui permettra de tester. Et après, faudra raquer un peu.

Le fonctionnement est simple comme bonjour :

  1. Connectez-vous à votre compte WeTransfer
  2. Sélectionnez et uploadez le fichier que vous souhaitez vendre
  3. Dans la section « Demander un paiement« , fixez un prix en entrant un montant en euros.
  4. Partagez le lien WeTransfer avec votre client par email, réseaux sociaux ou tout autre canal de communication
  5. Quand votre client clique sur le lien et télécharge le fichier, il devra d’abord soumettre un paiement. Vous pouvez suivre les paiements et gains dans votre compte.

Pour voir ce que ça donne, je vous ai mis un fichier surprise à 20 balles. Ne l’achetez pas.

En tout cas, moi je trouve ça super malin de leur part. WeTransfer est en train de se positionner comme le meilleur ami des créatifs, en leur offrant une solution simple et efficace pour monétiser leur travail, comme ça fini le temps des galères, des paiements en retard et des nuits blanches à se demander si on va pouvoir payer le loyer. Maintenant, on upload, on vend, et on passe à autre chose !

Si tu payes pas, t’as pas le livrable. Simple, basique.

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