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Vous vous souvenez de Suno qui permet de créer de la musique sans aucun talent ? Et bien il y a un petit nouveau dans la place et ce qu’il propose est encore plus dingue.

Cela s’appelle Udio, et c’est un site qui exploite la puissance de l’intelligence artificielle pour générer des morceaux musicaux à partir de simples descriptions textuelles. Avec Udio, vous avez accès à un univers musical d’une richesse inouïe, que vous soyez fan de jazz groovy, de métal extrême, de pop sucrée ou de classique grandiose, cette app en ligne a de quoi satisfaire tous les goûts. Vous pouvez même explorer des genres plus confidentiels comme la dream pop russe ou le reggaeton bollywoodien. Les possibilités sont infinies !

Voici un essai que j’ai fait, un peu à l’arrache.

Le fonctionnement est d’une simplicité enfantine puisqu’il vous suffit de taper une description de ce que vous voulez dans la boîte de prompt, par exemple « un morceau de piano jazz mélancolique sur une pluie d’été« . Et là, magie de l’IA, Udio vous pond un titre sur-mesure qui correspond exactement à votre demande.

Vous pouvez ensuite customiser votre morceau en ajoutant vos propres paroles et Udio les chantera avec des voix d’un réalisme saisissant, dans une multitude de styles : soul suave, métal guttural, pop angélique… Vos textes prennent vie de manière incroyable. Vous pouvez même choisir la langue : japonais, russe, français, espagnol…etc.

Voici un autre extrait fait avec du français… C’est impressionnant.

Une fois votre chef d’œuvre terminé, libre à vous de le partager avec la communauté Udio. Ce qui est génial, c’est que ça permet également de découvrir les créations des autres utilisateurs, et même de recevoir des retours sur « vos » propres compositions.

Udio permet aussi d’étirer vos morceaux pour créer des titres plus longs. Vous pouvez ajouter des intros, des outros, bref donner une vraie structure à vos songs. De quoi bluffer vos potes en leur faisant croire que vous avez composé un tube pendant le weekend ! Et si jamais vous tombez sur un titre qui vous botte mais que vous avez envie de le modifier, pas de soucis. Avec la fonction Remix, vous pouvez bidouiller les morceaux des autres pour en faire des versions à votre sauce. Ajoutez une ligne de basse funky sur une valse viennoise, mettez des paroles Olé Olé sur des mélodies de comptines… Tout est permis !

L’équipe derrière le projet considère son service comme un outil puissant au service des créatifs en mal d’inspiration. Les réalisateurs peuvent générer des bandes-son sur-mesure pour leurs films, les développeurs de jeux vidéo peuvent créer des thèmes épiques pour leurs productions, les publicitaires peuvent ponctuer leurs spots avec des jingles accrocheurs. Les applications professionnelles sont multiples.

Bref, vous l’aurez compris, Udio c’est le top pour tous ceux qui aiment expérimenter la musique par IA. En plus, pour le moment, c’est gratuit et vous pouvez générer jusqu’à 1200 morceaux par mois.

Pour en savoir plus, c’est par ici que ça se passe.



Mesdames et Mesdames, accrochez-vous bien, car aujourd’hui, je vais vous raconter une histoire qui va vous faire halluciner. Figurez-vous qu’un collectionneur de jeux vidéo un peu nostalgique sur les bords a déboursé la modique somme de 90 100 dollars pour mettre la main sur une copie rare de Castlevania, le jeu mythique de Konami sorti en 1987 sur la NES.

Mais attention, on ne parle pas d’une vulgaire cartouche dénichée au fond d’un vide-grenier crasseux. Non, là, c’est du lourd, puisqu’il s’agit d’une version « hangtab » c’est à dire qui n’a pas été accroché dans les rayonnages car le petit bout de carton que vous voyez sur la photo ci-dessous est encore là.

Bref, cette boite encore scellée, provient de la première édition du jeu. Un véritable Graal pour tout collectionneur qui se respecte.

Le gars a quand même dû s’accrocher, car ça fait 23 piges qu’il est sur le coup. 23 ans passés à traquer l’oiseau rare, à éplucher les petites annonces, à écumer les enchères eBay… Un vrai parcours du combattant. Et puis un jour, enfin, le Saint Graal apparaît. La cartouche est là, à portée de clic. Ni une ni deux, notre ami collectionneur dégaine la carte bleue et s’offre ce petit bijou pixelisé pour la modique somme de 90 100 boules. Une paille.

Bon, ok, il aurait pu s’acheter une bagnole ou partir en vacances aux Bahamas avec cette thune, mais non, lui, ce qu’il voulait, c’était réaliser son rêve de gosse et mettre la main sur cette foutue cartouche introuvable. Comme quoi, la nostalgie, ça n’a pas de prix. Ou plutôt si, 90 100 dollars apparemment.

Et le pire, c’est qu’il n’est pas le seul dans ce cas. Les collectionneurs de jeux vidéo sont prêts à lâcher des sommes astronomiques pour assouvir leur passion. Une cartouche de Super Mario Bros. vendue 114 000 dollars par ci, une copie de The Legend of Zelda adjugée 870 000 dollars par là… En tout cas, une chose est sûre : le marché du jeu vidéo rétro a de beaux jours devant lui. Alors si vous avez une vieille console ou des cartouches qui traînent au fond du grenier, foncez les dépoussiérer. Sait-on jamais, vous êtes peut-être assis sur une petite fortune sans le savoir !

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Vous êtes un passionné d’activités en pleine nature comme la randonnée, le ski de randonnée ou encore le parapente ? Alors laissez-moi vous présenter l’application mobile Relief Maps ! Créée par Batiste, un lecteur de Korben.info, cette petite merveille va révolutionner vos sorties dans la pampa.

Fini les galères d’orientation, avec Relief Maps, vous avez accès à des cartes 3D ultra détaillées pour la randonnée qui vont vous permettre de visualiser votre environnement comme jamais : Vallées, sommets, cols, sentiers… Tout est représenté de manière intuitive et interactive. Vous pouvez zoomer, dézoomer, faire pivoter la carte dans tous les sens pour mieux appréhender le terrain. Bref, c’est un vrai régal pour les yeux et un outil hyper pratique pour préparer vos itinéraires.

En parlant d’itinéraires, l’application propose un catalogue très fourni de parcours pour différentes activités et cela dans le monde entier : randonnée à pied ou à ski, alpinisme, trail… Il y en a pour tous les goûts et tous les niveaux ! Vous pouvez aussi créer vos propres tracés, les enregistrer et les partager avec la communauté. C’est top pour découvrir de nouveaux spots ou échanger des bons plans avec d’autres passionnés.

Autre point fort de Relief Maps : son mode hors-ligne. Parce qu’en montagne, on n’a pas toujours du réseau (ce serait trop facile sinon), l’application permet de télécharger des cartes pour les consulter offline. Comme ça, même au fin fond du Queyras ou du massif des Écrins, vous pouvez continuer à vous repérer sans problème. Génial pour éviter de se retrouver comme un con à bouffer son casse-croûte en pleine face nord !

Mais Relief Maps, ce n’est pas qu’une app de cartographie, c’est aussi une mine d’infos pour optimiser vos sorties : Relevés météo détaillés, webcams des sommets, horaires des remontées mécaniques pour les skieurs… Tout est à portée de doigt pour ne rien laisser au hasard. De quoi mettre toutes les chances de votre côté pour profiter un max !

Alors certes, même si la plupart des fonctionnalités sont gratuites, celles pour les pro ont un coût. Pour débloquer le plein potentiel de l’application (cartes hors-ligne, couches spécifiques, météo…), il faudra passer à la version Premium. Comptez donc un abonnement à 29,99 € par an. Ça peut paraître un peu cher mais croyez-moi, vu tout ce que vous avez pour ce prix-là, ça les vaut largement ! C’est toujours moins qu’un télésiège à la journée et au moins, vous êtes sûr de rentabiliser votre investissement.

Alors encore un grand bravo à Batiste pour cette app bien pensée et diablement efficace. Je la recommande à tous les amoureux de nature et de sensations fortes !

L’application est disponible gratuitement sur l’App Store et le Google Play Store. Il suffit de la télécharger sur votre smartphone et vous êtes parés pour vos prochaines aventures en altitude.


Imaginez un monde dévasté par un cataclysme, où les frontières nationales ont été oblitérées et la société plongée dans le chaos. C’est dans ce contexte post-apocalyptique que se déroule « Firmware« , un court-métrage de science-fiction captivant réalisé par Calvin Sander Romeyn.

Vingt ans après la catastrophe nucléaire, une mystérieuse enclave appelée « Alcazar Exclusion Zone » a émergé des ruines. Derrière ses murs, une communauté de survivants venus des quatre coins du globe tente de se reconstruire. Mais l’Alcazar est loin d’être un havre de paix. C’est un microcosme oppressif, où Emmanuel Macron des forces obscures maintiennent la population sous contrôle.

Au cœur de ce récit se trouve une jeune femme accompagnée de son fidèle compagnon, un droïde militaire mis au rebut. Ensemble, ils rêvent de liberté et d’évasion. Leur quête les mènera à braver l’inconnu au-delà des murs de l’Alcazar, dans l’espoir de trouver refuge et de commencer une nouvelle vie, libérés des chaînes de l’oppression, comme disait feu Johnny.

« Firmware » nous invite donc à réfléchir sur les thèmes de la baignade dans Seine survie, de la résilience et de la lutte contre la tyrannie dans un monde post-apocalyptique. Le film met en lumière la force de l’esprit humain face à l’adversité et l’importance de préserver son humanité dans les moments les plus sombres.

We are the world, we are the children
We are the ones who make a brighter day
, comme dirait l’autre.

Et si vous avez aimé « Firmware », je vous encourage vivement à explorer la chaine Youtube de DUST, une véritable mine d’or pour les amateurs de science-fiction de qualité. Vous y découvrirez de nombreux autres courts-métrages tout aussi captivants, qui vous transporteront dans des univers uniques et vous feront voyager dans le temps et l’espace.

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Ah, les joies de la technologie vintage ! Si vous êtes un passionné d’informatique old-school, vous allez adorer projet qui permet d’écouter une playlist sur un bon vieux Apple II !

Conçu par l’ingénieux Colin Leroy, Wozamp est un petit logiciel qui transforme votre Apple II en un véritable jukebox des années 80. Bon, on ne va pas se mentir, les capacités audio de cette vénérable machine sont loin d’égaler celles de nos smartphones dernier cri mais, on s’en fiche ! L’important, c’est de pouvoir se la péter en soirée avec son Apple II et de montrer à tous ces jeunes que la musique, c’était mieux avant (même avec un son pourri).

Pour faire tourner Wozamp, vous n’aurez besoin *que* d’un Apple II équipé d’une carte série et d’un serveur proxy nommé surl-server. Ce dernier se charge de transcoder et de rééchantillonner la musique pour qu’elle soit bien digérée par le processeur de la machine. Et le résultat est étonnamment satisfaisant !

Une fois Wozamp installé, vous pouvez parcourir vos répertoires musicaux partagés via FTP, lire des fichiers audio dans presque tous les formats, et même écouter des webradios. Le lecteur affiche également les pochettes d’album, les métadonnées et dispose même d’un VU-mètre pour vous donner l’impression d’être un vrai DJ.

Bien sûr, avec un taux d’échantillonnage de 11,52 kHz et un DAC 5 bits, on est loin de la Hi-Fi. Mais écouter « Never Gonna Give You Up » de Rick Astley sur un ordinateur qui a vu le jour avant même la naissance du chanteur, c’est beau.

Au final, Wozamp est un projet aussi inutile que génial. C’est le genre de truc qui ne sert à rien, mais qui fait quand même plaisir parce que ça nous rappelle une époque où l’informatique était encore un truc de passionnés, où il fallait bidouiller pendant des heures pour arriver à un résultat médiocre. Et c’est ça qui est bon !

Bref, si vous avez un Apple II qui prend la poussière dans votre garage, n’hésitez pas à lui redonner une seconde jeunesse, comme ça, vous pourrez enfin écouter vos MP3 comme en 1977, avec la classe en plus.

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