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Korben, roi d’internet, logo bébé avec des lunettes en mode thug life

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Des chercheurs de l’université d’Aston, en collaboration avec des pointures japonaises et américaines, viennent de réussir un exploit digne des meilleurs films de science-fiction. Ils ont réussi à transférer des données à une vitesse complètement délirante de 301 térabits par seconde, soit 301 millions de mégabits par seconde.

Pour vous donner une idée, c’est 4,5 millions de fois plus rapide que la moyenne du haut débit au Royaume-Uni, qui se traîne péniblement à 69,4 Mbit/s. Même aux États-Unis, où les connexions sont plus véloces avec une moyenne de 242,4 Mbit/s, ça reste plus d’un million de fois plus lent que ce que nos chers scientifiques ont réussi à atteindre.

Mais comment diable ont-ils fait pour arriver à un tel résultat ? Eh bien figurez-vous qu’ils ont utilisé de nouvelles bandes de longueurs d’onde qui ne sont pas encore exploitées dans les systèmes de fibre optique classiques. C’est un peu comme s’ils avaient découvert de nouvelles couleurs dans la spectre de la lumière capables de transporter les données à une vitesse supersonique dans les câbles. Ils ont même développé des amplificateurs optiques et des égaliseurs de gain pour dompter ces fameuses bandes et les rendre utilisables.

Le Dr Ian Phillips, qui a mené le développement d’un processeur optique à l’université d’Aston, explique que les données ont été envoyées via une fibre optique similaire à une connexion internet domestique. Sauf qu’en plus des bandes C et L disponibles dans le commerce, ils ont utilisé ces deux bandes spectrales supplémentaires, E et S, qui sont environ trois fois plus larges que les bandes C et L réunies. Avant leur invention, personne n’avait réussi à émuler correctement les canaux de la bande E de manière contrôlée.

Le professeur Forysiak, un autre cerveau de l’équipe, souligne que cette réalisation révolutionnaire met en lumière le rôle crucial des avancées dans la technologie de la fibre optique pour révolutionner les réseaux de communication et permettre une transmission de données plus rapide et plus fiable. En augmentant la capacité de transmission dans le réseau principal, leur expérience pourrait conduire à des connexions considérablement améliorées pour les utilisateurs finaux.

Et le plus beau dans tout ça, c’est que cette prouesse ne nécessite pas de nouvelles infrastructures pour améliorer drastiquement les vitesses internet. Elle permet d’augmenter significativement le débit des câbles de fibre optique existants. C’est non seulement une solution plus écologique que de déployer de nouvelles fibres et de nouveaux câbles, mais cela permet aussi de prolonger la durée de vie et la valeur commerciale du réseau de fibres déjà en place.

Alors certes, on n’est pas près de voir débarquer cette technologie de dingue chez nous, mais imaginez un peu ce que ça pourrait changer. Télécharger un film en 4K ? Une fraction de seconde. Streamer du contenu en 8K sans la moindre latence ? Facile. Jouer en ligne avec un ping proche du zéro absolu ? Du gâteau. Les possibilités sont juste hallucinantes.

Et ce n’est pas tout, car cette avancée pourrait aussi révolutionner l’accès à internet dans les zones mal desservies. Fini les connexions pourries dans les campagnes ou les régions reculées. Avec des débits pareils, on pourrait enfin avoir un internet à très haut débit partout, pour tout le monde. Ça serait un véritable bond en avant pour réduire la fracture numérique. Si Free propose ça un jour, promis, je change de crèmerie ^^.

Mais ne nous emballons pas trop vite non plus. Il faudra sûrement des années avant que cette technologie ne se démocratise et arrive dans nos petits foyers. Les opérateurs devront adapter leurs infrastructures, les fabricants devront créer des équipements compatibles, et tout ça va prendre un temps fou et coûter un bras. Mais quand même, savoir que c’est possible, et que des petits génies sont en train de repousser les limites de la science pour nous offrir un internet de folie, ça fait rêver.

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Vous aviez remarqué que les paroles des chansons actuelles ont l’air de tourner en rond ces derniers temps ?

Et bien figurez-vous que c’est pas qu’une impression ! Une grosse étude vient de démontrer que les lyrics deviennent de plus en plus simples, répétitives et négatives. Pour cela, les chercheurs ont passé au crible plus de 12 000 chansons de rap, country, pop, R&B et rock sorties entre 1970 et 2020.

Alors attention, hein, ça veut pas dire que les paroliers d’aujourd’hui sont tous des manches ! Mais globalement, les mots utilisés sont de plus en plus basiques et les phrases répètent souvent la même chose. En plus de ça, l’étude montre aussi qu’on est passé de chansons plutôt joyeuses et positives à des trucs plus sombres et négatifs. Genre les mots qui expriment la colère, le dégoût ou la tristesse, s’invitent de plus en plus dans nos oreilles. Et on parle même pas du nombrilisme ! Les « moi je », « mon truc », ça pullule dans les paroles récentes.

Bon après, faut remettre ça dans le contexte. En 50 ans, le paysage musical a beaucoup changé. On est passé des vinyles et des cassettes aux CD puis au streaming. Donc maintenant avec les algos et tout, faut capter l’attention en 15 secondes sinon couic, l’auditeur zappe. Du coup, les refrains bien basiques qui rentrent direct dans le crâne, ça marche du tonnerre. Les paroles minimalistes, plus faciles à mémoriser, c’est jackpot.

Après, vous me direz, est-ce que des paroles simplistes, c’est forcément un mal ? Les Beatles, c’était déjà assez basique et ça les a pas empêchés de révolutionner la musique ! L’essentiel, c’est que ça parle aux gens, non ?

Et puis bon, faut pas généraliser non plus. Y a encore de sacrés paroliers qui font dans la poésie et dans les textes travaillés. Mais c’est sûr que la tendance générale, c’est plutôt « Wesh Wesh baby, tu veux voir ma Rolex ? » que « Par ses mots abstraits, le poète s’exile dans la quintessence de son âme« . Chacun son truc !

En tout cas, la prochaine fois que vous entendrez un refrain ultra répétitif qui tourne en boucle dans votre tête, genre pendant la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques, et bien ne faites pas le vieux con, et dites-vous que c’est juste l’époque qui veut ça ! Les goûts et les couleurs musicales évoluent et les paroles suivent le mouvement.

Bref, on ne juge pas !

Reste plus qu’à voir ce que l’avenir nous réservera. Des chansons juste en onomatopées ? Allez, je vous laisse, faut que j’aille écrire mon tube : « Boum boum, crac crac, bim bam, miam miam« .

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Vous connaissez la dernière ?

Des petits malins ont eu l’idée de distribuer des logiciels de triche pour Call of Duty et d’autres jeux sur Battle.net. Sauf que… surprise ! En réalité, ces soi-disant « cheats » étaient bourrés de malwares qui aspirent les Bitcoins des joueurs ! Un coup de maître digne d’un scénario de Mr Robot.

D’après les experts en cybersécurité de VX Underground, cette attaque d’hameçonnage ciblée aurait potentiellement compromis près de 5 millions de comptes, rien que ça ! Une fois installé sur l’ordi de la victime, le malware s’attaque direct au portefeuille Bitcoin Electrum pour siphonner les précieuses crypto. On parle de presque 3,7 millions de comptes Battle.net, plus de 560 000 comptes Activision et environ 117 000 comptes ElitePVPers. Autant dire que les cybercriminels se sont fait plaisir.

Bon, Activision affirme que ses serveurs n’ont pas été directement compromis. Mais quand même, ça la fout mal. La boîte conseille à tous les joueurs qui auraient pu cliquer sur un lien louche de changer rapidement leur mot de passe et d’activer l’authentification à deux facteurs ce qui est un minimum.

Bref, méfiez-vous comme de la peste des logiciels de triche. Comme dirait l’autre, si c’est trop beau pour être vrai, c’est que ça cache sûrement une entourloupe !

Puis où est passé le plaisir de jouer à la loyale, de progresser à la sueur de son front et de laminer ses adversaires à la régulière ?


Ça y est les amis, on y est ! Apple va enfin adopter le standard RCS sur iPhone à partir de fin 2024 ! C’est une excellente nouvelle qui va changer la donne dans le petit monde de la messagerie mobile. Il sera bientôt fini le temps où envoyer un message à un ami sous Android c’était l’enfer, avec une qualité dégueu des photos, des fonctionnalités limitées et zéro sécurité.

Maintenant, grâce à RCS, on va enfin pouvoir tchatcher avec tout le monde de la même façon, que ce soit sur iOS ou Android.

Alors c’est quoi RCS ? En gros c’est un protocole de messagerie nouvelle génération qui offre plein d’avantages par rapport aux bons vieux SMS/MMS d’il y a 20 ans. Déjà, ça permet d’envoyer des photos et vidéos en haute définition sans compression dégueulasse. Ensuite, y’as des trucs cools comme les indicateurs de frappe, les accusés de lecture, les messages via le WiFi, et surtout le chiffrement de bout en bout pour protéger vos conversations. En fait c’est un peu comme iMessage, mais en version universelle et interopérable.

Depuis des années, Google et les autres acteurs poussaient comme des malades pour que RCS devienne le nouveau standard sur Android. Mais il manquait toujours le dernier morceau du puzzle : Qu’Apple daigne enfin l’adopter sur iPhone ! Les mecs ont résisté longtemps, soi-disant pour garder leur avantage compétitif avec iMessage et continuer d’enfermer les gens dans leur écosystème. Résultat, quand on textait un pote sur Android depuis un iPhone, on était obligé de passer par ce bon vieux SMS tout pourri. La loose…

Mais sous la pression des régulateurs européens (comme d’hab ^^) qui exigent l’interopérabilité des messageries, Apple a fini par céder. Comme l’a subtilement révélé Google sur son site, la firme de Cupertino prévoit donc bien d’intégrer RCS dans une future mise à jour d’iOS, probablement iOS 18 en septembre 2024. Autant dire que c’est une sacrée bonne nouvelle pour nous, les utilisateurs !

Déjà, ça va permettre de communiquer de façon fluide avec tous nos contacts, quelle que soit leur religion (euh pardon leur smartphone). Photos, vidéos, réactions, indicateurs de frappe… On aura enfin droit aux mêmes fonctionnalités sympa et ergonomiques pour tchatcher avec tout le monde. Ensuite, on n’aura plus à se soucier de la sécurité et confidentialité de nos échanges. Avec le chiffrement de bout en bout de RCS, nos messages seront protégés des regards indiscrets, exactement comme sur iMessage ou WhatsApp. Et ça c’est crucial à l’heure où les scandales de surveillance de masse et de fuite de données s’enchaînent !

Après attention, connaissant Apple, faut pas s’attendre non plus à une implémentation parfaite de RCS qui effacerait complètement les frontières avec iMessage. Ils vont sûrement trouver des moyens de garder une petite spécificité à leur bébé, genre en conservant les bulles vertes, qui stigmatisent les pauvres, pour bien différencier les conversations Android. Ou alors en bridant certaines fonctionnalités un peu trop hypes d’iMessage dans les chats RCS. Mais bon, l’essentiel c’est qu’on puisse enfin s’envoyer des messages riches, sécurisés et fiables entre iPhone et Android. C’est déjà un énorme pas en avant !

Rendez-vous en septembre de cette année pour voir si ce rêve se réalise !

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Alerte rouge dans la galaxie des navigateurs web ! Microsoft vient d’annonce qu’une faille critique 0-day a été découverte dans Edge et corrigée en urgence. Mais attention, cette vulnérabilité ne se limite pas au navigateur de Microsoft puisque c’est toute la famille Chromium qui est touchée !

Google a bien tenté de faire profil bas en publiant discrètement un correctif pour Chrome le 26 mars, sans trop s’étendre sur les détails. Mais c’était sans compter sur la perspicacité de Microsoft qui a mis les pieds dans le plat en confirmant que l’exploit était activement utilisé par des cybercriminels. Aïe !

Baptisée CVE-2024-2883, cette vilaine faille se cache dans le moteur graphique ANGLE (Almost Native Graphics Layer Engine) utilisé par les navigateurs Chromium pour faire tourner le WebGL. En gros, c’est la porte d’entrée parfaite pour exécuter du code malveillant sur votre machine.

Heureusement, Microsoft a réagi au quart de tour en sortant illico presto la version 123.0.2420.65 d’Edge qui colmate la brèche. Mais attention, si vous utilisez un autre navigateur basé sur Chromium comme Chrome, Brave, Vivaldi ou Opera, vous êtes aussi concernés. Alors, foncez vérifier que vous avez bien la dernière version à jour !

Pour ce faire, rien de plus simple : tapez « chrome://settings/help » (ou l’équivalent pour votre navigateur) dans la barre d’adresse et laissez la magie opérer. Si une mise à jour est disponible, elle sera téléchargée et installée automatiquement. Ensuite, relancez le navigateur et le tour est joué !

Ce n’est pas la première fois qu’une faille 0-day fait trembler le monde des navigateurs. En 2021, une vulnérabilité similaire avait été découverte dans Chrome et avait été activement exploitée pendant des semaines avant d’être corrigée. Un vrai cauchemar pour les utilisateurs et les éditeurs !

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